Foire Aux Questions

FAQ Complète
sur le Traitement des Anthrènes

Les réponses d’experts pour comprendre, traiter et prévenir les infestations d’anthrènes sur vos textiles.

Nos Experts Répondent à Vos Questions

Vous suspectez une infestation, vous craignez pour vos textiles ou vous hésitez sur la bonne méthode ? Utilisez les catégories ci-dessous pour trouver rapidement la réponse adaptée à votre situation.

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Une infestation se repère d’abord grâce aux larves brunes, ovales et légèrement poilues cachées dans les placards, tapis, moquettes, textiles naturels ou dessous de meubles. Les petits trous irréguliers sur les vêtements en laine, les tapis effrités et la présence de minuscules insectes adultes près des fenêtres (attirés par la lumière) sont également des signes révélateurs.

Ils ne piquent pas et ne transmettent pas de maladies, mais provoquent d’importants dégâts matériels sur les textiles.

Ils sont attirés par les textiles naturels riches en kératine. Les lieux sombres, humides, mal ventilés et contenant de la poussière leur offrent un environnement idéal. Les placards fermés et les vêtements stockés longtemps sont particulièrement sensibles.

Ils peuvent entrer via les fenêtres, ventilations, plantes, objets rapportés de l’extérieur ou vêtements déjà contaminés.

Les larves d’anthrènes sont brunes, fuselées, recouvertes de petits poils et se déplacent lentement. Elles laissent parfois de minuscules débris ou peaux de mue à proximité des textiles.

Oui. Les adultes mesurent généralement entre 2 et 4 mm, sont arrondis et parfois tachetés, tandis que les larves atteignent 4 à 7 mm et sont facilement repérables sur les tissus clairs.

Oui. Le printemps et le début de l’été favorisent l’émergence des adultes attirés par la lumière. Les larves, elles, peuvent rester actives toute l’année dans les logements chauffés et mal ventilés.

Nous intervenons en moins de 2 heures partout en Île-de-France, 7j/7.

Le technicien inspecte d’abord les zones sensibles, identifie le type d’anthrènes, puis applique un traitement professionnel ciblé éliminant œufs, larves et adultes. Ensuite, il sécurise les zones, explique les temps d’attente, et fournit des conseils personnalisés pour éviter la récidive.

Oui. Les produits sont certifiés, utilisés selon un protocole strict et adaptés aux lieux de vie occupés. Des consignes claires vous sont données pour garantir la sécurité de toute la famille.

Dans la plupart des cas, il est recommandé de quitter le logement pendant l’application et la phase de séchage, soit 1 à 2 heures en moyenne. Le technicien vous indique précisément la durée à respecter.

Selon le nombre de pièces et le niveau d’infestation, une intervention dure généralement entre 1h et 2h. Les surfaces textiles et les zones difficiles d’accès sont traitées en priorité.

Pas systématiquement. Un second passage est recommandé pour les infestations très avancées, les grandes surfaces ou les environnements sensibles (hôtels, musées, archives). Pour un logement classique, un passage bien mené accompagné d’une bonne prévention suffit souvent.

Oui. Le devis est gratuit, clair et sans engagement. Il détaille les zones à traiter, la méthode utilisée, le tarif et, le cas échéant, les visites de contrôle prévues.

La laine, la soie, le coton, le cachemire, les tapis naturels, les moquettes épaisses, la fourrure et certains mobiliers textiles sont les plus vulnérables.

Les larves d’anthrènes consomment de la kératine, une protéine abondante dans les fibres animales comme la laine, le cuir, la soie et les poils naturels. Ces textiles constituent une source de nourriture idéale pour leur développement et expliquent les dégâts importants sur les lainages.

Oui, surtout si les assises contiennent des fibres naturelles ou accumulent poussières et résidus organiques. Les zones peu aspirées sont les plus exposées.

On observe des trous, des zones effritées, des fibres cassées ou des parties plus fines que le reste du tapis, souvent dans les zones peu visibles ou sous les meubles.

Ils sont globalement moins attractifs pour les anthrènes, mais des résidus alimentaires, poussières ou mélanges de fibres peuvent tout de même susciter leur intérêt.

Pas forcément. De nombreux textiles peuvent être sauvés grâce à un lavage à haute température, un nettoyage professionnel ou un traitement adapté. Le technicien vous indique les pièces à conserver, à traiter ou, en dernier recours, à éliminer.

Indirectement, oui. Ils peuvent abîmer les reliures, tissus de couverture ou matériaux contenant des fibres naturelles. C’est un risque bien connu dans les musées, bibliothèques et centres d’archives.

Oui, en cas de réintroduction de textiles contaminés ou si certaines zones restent très poussiéreuses et mal ventilées. Le traitement professionnel réduit fortement le risque, mais la prévention reste essentielle pour éviter une nouvelle infestation.

Aspirer régulièrement tapis et moquettes, laver les textiles sensibles à 60°C lorsque c’est possible, aérer les placards, éviter de stocker des vêtements sales et utiliser des housses hermétiques pour les vêtements de saison.

Oui. La combinaison obscurité, chaleur, poussière et fibres naturelles offre un environnement idéal aux larves. Il est important de faire circuler l’air et de nettoyer régulièrement.

Il n’est pas nécessaire de tout laver, mais les textiles les plus exposés, fragiles ou douteux doivent être lavés ou désinfectés. Le technicien vous donne une liste précise des pièces à traiter en priorité.

Souvent oui : fenêtres, ventilations, plantes, objets ou textiles rapportés peuvent servir de vecteur. C’est pourquoi la vigilance est importante après un voyage ou un déménagement.

Oui, la chaleur peut détruire œufs et larves dans certaines zones textiles, surtout en complément d’un traitement professionnel. Elle ne remplace toutefois pas un protocole complet.

Non. L’aspiration enlève des larves et des débris en surface mais ne traite ni les œufs ni les zones enfouies. C’est un bon réflexe d’entretien, mais ce n’est pas un traitement curatif en cas d’infestation installée.

Oui : Paris (75), Seine-et-Marne (77), Yvelines (78), Essonne (91), Hauts-de-Seine (92), Seine-Saint-Denis (93), Val-de-Marne (94) et Val-d’Oise (95), avec intervention en moins de 2 heures.

Oui. Nous traitons chambres, moquettes, mobiliers textiles, lingerie, réserves et zones de stockage. Les protocoles sont pensés pour garantir discrétion, sécurité des clients et continuité d’activité.

Oui, avec des méthodes adaptées aux collections, tapisseries, textiles anciens et pièces sensibles, en coordination étroite avec les équipes de conservation.

Oui, nous proposons des traitements discrets et adaptés aux volumes importants de textiles manipulés ou stockés.

Oui. Nous mettons en place des contrats de suivi, visites préventives et plans d’action sur-mesure pour hôtels, musées, commerces, entrepôts et bureaux afin de protéger durablement les textiles et l’image de marque.

Appartements, maisons, lofts, duplex, studios, combles aménagés et résidences secondaires, avec des protocoles adaptés à chaque configuration.

Oui, nous proposons des interventions d’urgence 7j/7 pour les professionnels, avec une prise en charge rapide visant à limiter l’impact sur l’activité et la clientèle.

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